L’industrie musicale, future victime de la révolution blockchain ? Audius (AUDIO) au sommet des charts !

Le Web3 en musique – Les technologies blockchains, les approches de types DAOs (organisations à la gouvernance décentralisée), la tokenisation des actifs de toutes natures, l’explosion des NFT et de la DeFi. Un ensemble de nouvelles approches technologiques émergentes qui sont bien plus qu’un empilement d’outils pour renforcer le système actuel, injuste et défaillant. 

La diffusion massive de ces nouveaux paradigmes est porteuse d’un vent nouveau, du calibre de ceux qui peuvent tout changer. Et si ces mouvements en formation nous laissent entrevoir ce que sera le fameux Web3, ou “Internet de la valeur”, ils bousculent déjà l’ordre des choses dans de nombreux domaines de l’économie réelle.

Ainsi en est-il du projet Audius qui, une piste après l’autre, un stream à la fois, lézarde chaque jour un peu plus le monopole des bien mal nommées “Majors”. En jeu, l’apparition d’une nouvelle équation simplifiée à l’extrême et infiniment plus juste, permettant aux artistes de s’adresser sans intermédiaire à leurs fans, en s’appuyant sur un réseau communautaire vertueux et bienveillant by design.

Chaussez vos écouteurs, augmentez les basses et découvrez Audius, le projet crypto qui veut miser sur la face B de l’industrie musicale.

Cet article vous est proposé dans le cadre d’une campagne de communication éducative, et soutenue par Audius.

Les premières notes d’Audius : “I’m a survivor”

Lorsqu’en août 2018, le projet Audius annonce avoir solidement bouclé sa levée de fonds de 5.5 millions $ avec des partenaires prestigieux, comme Panthera Capital ou Kleiner Perkins, l’information est accueillie avec un certaine circonspection.

Le bear market de 2018 fut le théâtre d’âpres batailles qui ont vu mourir de trés nombreux projets cryptos

En effet, au même titre que pour certains des albums les plus fabuleux de l’histoire musicale moderne, depuis ”A Night at the Opera” de Queen jusqu’au monument de difficulté ”And Justice for all” de Metallica, les pires circonstances accouchent parfois des propositions de valeur les plus solides. Audius fait ainsi partie de ces projets qui, apparus au coeur de la tourmente, se sont renforcés dans l’adversité.

Un grammy à portée de main

La proposition de valeur d’Audius est aussi simple qu’ambitieuse : permettre la désintermédiation de l’écosystème du streaming, lourdement verrouillé depuis 2 décennies par quelques géants comme Spotify ou Deezer. En découlerait naturellement une redistribution plus équitable aux artistes du fruit de leurs œuvres.

La problématique est d’une simplicité biblique, mais le travail est rien moins que colossal : détricoter un modèle dominant auquel les consommateurs se sont inconsciemment habitués. Un modèle où chacun trouve normal que des intermédiaires ultra-centralisés s’arrogent la part la plus généreuse d’un gâteau essentiellement confectionné par les artistes. 

N’importe qui en possession du nombre de token $AUDIO suffisant peut prétendre faire tourner une masternode

Fondamentalement, le protocole Audius s’appuie sur un réseau de nœuds (ou masternodes). Chacun de ces nœuds permet le staking d’une certaine quantité d’un actif baptisé $AUDIO sur lequel nous allons revenir dans un instant.

Audius fait coexister deux types de masternodes différents sur son réseau :

  • Les Discovery Nodes : Pour indexer et hacher les données telles que les profils d’utilisateurs, les listes de lecture et les followers.
  • Les Contents nodes : permettent de stocker et relayer les contenus audios (pistes, mixages, etc.) diffusés sur Audius.

N’importe qui peut prétendre à opérer un nœud. Pour ce faire, il devra se conformer à un certain niveau d’exigence. Un opérateur peut choisir de gérer un nœud de contenu (Content Node), un nœud de découverte (Discovery Node), ou encore une combinaison des deux. Le montant de tokens $AUDIO mis en jeu pour un opérateur donné peut être considéré comme sa bande passante économique pour faire fonctionner une combinaison de services sur le réseau.

L’écosystème Audius fait la part belle aux outils et aux Dapps

Le virage Solana, en musique on appelle ça “modulation”

On l’a mentionné, Audius a quitté Ethereum pour le protocole Solana il y a quelques mois. La rapidité de ce service de seconde couche, associée aux économies s’agissant des coûts de transactions se sont révélées déterminantes pour le projet qui mise sur la très haute disponibilité de l’information, ambitionnant de traiter quotidiennement une très importante quantité de données. Et cette intégration à l’univers Solana se poursuit encore, Audius s’impliquant désormais de plus en plus dans un secteur en plein boom : les NFT.

Source: journalducoin.com

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