Bitcoin, parti pour rester ? Ce richissime millionnaire le pense

« J’aurais aimé acheter du bitcoin à 100 dollars ! » Rassurez-vous, M. Rubenstein ! On en est tous là. À part quelques-uns de nos lecteurs qui ont eu la chance, la présence d’esprit, l’intuition ou le courage d’en acheter il y a plus de 10 ans, pour le gros des troupes, c’est toujours le même regret. Même les personnes les plus riches de la planète ne sont pas épargnées par le phénomène. Aujourd’hui, c’est David Rubenstein qui confesse avoir manqué le coche et qui a désormais des lasers rouges dans les yeux. Présent en début de semaine à la télévision américaine, il a déclaré sa flamme à Bitcoin et lui promet un avenir radieux. Morceaux choisis !

La volte-face du fondateur de Carlyle Group en seulement quelques mois

Alors qu’il avait tendance, comme beaucoup de financiers de l’ancien monde, à se moquer gentiment de Bitcoin et des cryptos, David Rubenstein ne rit plus. C’est d’ailleurs comme ça qu’il démarre son intervention télévisuelle chez Bloomberg Television, en rappelant que l’establishment de la finance vient de prendre conscience de la proposition de valeur et de l’importance du phénomène. Car pour lui, voir BlackRock faire une demande d’ETF est définitivement un game changer et prouve que « Bitcoin est là pour un moment ».

Le journaliste lui demande du coup s’il est devenu un avocat de Bitcoin ? Rire gêné de David Rubenstein, et réponse immédiate en forme de regret :

« Non, mais j’aurais aimé en acheter à 100 dollars quand Mike Novogratz a commencé à le faire, car il a gagné beaucoup d’argent. »

Éclat de rires général sur le plateau, et la journaliste de répéter qu’on aurait tous aimé en acheter à ce prix-là, Le tout sur Bloomberg à une heure de grande écoute. Décidément, les choses ont changé.

David Rubenstein a été convaincu par la proposition de valeur de Bitcoin et devient un de ses meilleurs ambassadeurs

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David Rubenstein en est convaincu : Bitcoin n’est pas juste un phénomène temporaire

La question suivante, de cette même journaliste, est de savoir s’il pense que BlackRock est là pour la proposition de valeur ou seulement pour faire de l’argent parce que Bitcoin intéresse les gens. Le cofondateur de Carlyle va alors expliquer qu’il perçoit un grand scepticisme chez les démocrates américains du Congrès ainsi qu’à la SEC. Il ajoute que la faillite de FTX a forcément fait beaucoup de mal à l’image des cryptos, mais qu’il convient de s’éloigner des États-Unis pour prendre conscience du phénomène :

« Autour du monde, de nombreuses personnes veulent pouvoir faire des affaires avec une monnaie sur laquelle leur gouvernement n’a pas de pouvoir et avec laquelle ils peuvent se déplacer librement. C’est pourquoi je pense que Bitcoin est là pour rester. »

Concernant l’idée que Bitcoin puisse être un moyen de stocker de la valeur ou de lutter contre l’inflation, David Rubenstein est plus mesuré. Non ! Pour lui, le point fort de cette crypto, et il le répètera encore une fois, c’est sa capacité à transférer de la valeur de façon sécurisée et hors du champ de surveillance des Etats :

« Il y a un énorme intérêt dans le monde pour quelque chose que vous pouvez transférer sans que le gouvernement le sache et le garder privé. Vous pouvez dire que les gens ne devraient pas le faire, mais cela ne les empêchera pas de le faire. »

Enfin, comment voit-il l’avenir immédiat sachant que Gary Gensler de la SEC est opposé aux cryptos ? Pour lui, beaucoup de gens au gouvernement savent qu’il ne sera pas le boss de la SEC éternellement, et qu’il suffira d’attendre qu’il ne soit plus là pour aller de l’avant. On reconnaît bien là le côté pragmatique d’un vieux routard de Wall Street. D’ailleurs, certains prédisent déjà que les choses pourraient aller un peu plus vite que prévu.

L’enthousiasme débordant de David Rubenstein vous a convaincu de prendre le train du Bitcoin ? N’attendez plus pour préparer l’avenir. Inscrivez-vous vite sur la plateforme Binance, et économisez 10 % sur vos frais de trading en suivant ce lien (lien commercial).

Source: journalducoin.com